dimanche 24 mars 2013

L'Atelier de YANKEL

Exposition à l'Espace RIQUET de Béziers du 1er mars au 12 mai 2013.

"J'ai plus de joie à voir les tableaux que j'aime accrochés ici que de les voir s'entasser dans un grenier sans que personne n'en profite.
Ce qui importe avant tout, c'est la prédominance émotionnelle de tel ou tel élément et non sa position conventionnelle dans l'espace.
Il s'agit d'apprécier ces oeuvres en fonction de leurs qualités émotionnelles autant qu'esthétiques." Yankel


Biographie
Jacques Yankel, de son vrai nom Jakob Kikoïne, est né le 14 avril 1920 à Paris. Fils de Mikhaïl Kikoïne et de Rosa Bunmovitz, c'est le deuxième enfant du couple puisque Claire Kikoïne naît  en 1915. Il grandit jusqu'à l'âge de dix ans à la Ruche, l'atelier créé pour les artistes par le sculpteur Alfred Boucher, dans le 15éme arrondissement de Paris. Autour de lui vivent également les autres artistes, dont les inséparables Pinchus Krémègne et Chaïm Soutine, arrivés de Vilna en Russie où ils se sont connus, (Vilnius aujourd'hui).


C'est évidement un univers intellectuel et artistique extraordinaire où se côtoient le génie des artistes et leur grande pauvreté dans un Paris qui accueille cette école expressionniste qui deviendra "l'Ecole de Paris". Car il faut encore compter parmi eux Chagall, Modigliani, Fernand Léger, Alexander Archipenko, Max Jacob...


En 1927, la famille s'installe rue de Gentilly, à Montrouge, et Michel Kikoïne peut enfin acheter une petite maison à Annay-sur-Serein, dans l'Yonne, lieu de rencontre où se retrouvent peintres et poètes.
Mais Michel Kikoïne veille à l'éducation de son fils, et lui évite de suivre son propre itinéraire, tant les difficultés économiques et les vicissitudes sont nombreuses.
Aussi si Yankel commence à dessiner à l'Ecole des Arts appliqués, il entre rapidement dans la "vie active" : il reste quelque temps à l'atelier d'orfèvrerie de Lacroix mais son indiscipline le fait renvoyer.


Pendant la seconde guerre mondiale, il occupe des emplois  temporaires en imprimerie  et atelier de gravure, notamment à l'imprimerie Draeger à Toulouse où les évènements l'ont conduit à se réfugier avec sa famille.
De 1940 à 1945, il poursuit des études très poussées de géologie à la Faculté des Sciences, se spécialisant dans la micro-géologie. Il y obtient un diplôme  d'études supérieures en 1943. En 1941 il épouse Raymonde Jouve, et en 1946, naît sa fille Dinah Kikoïne.
En 1947, il participe épisodiquement en peintre amateur au groupe du Chariot, avec les artistes Jean Hugon, Michel Goedgebuer, Robert Pagès, Christian Schmidt, André-François Vernette, Jean Teulières. Le groupe est actif jusqu'en 1954.
De 1948 à 1951, il est recruté  comme hydrologue-géologue au Ministère de la France d'Outre-Mer pour la carte géologique de Gao-Tombouctou-Tabankort.


Il séjourne donc au Soudan où il creuse des puits pour les Touaregs ; il fait la découverte de l'art marginal en 1949 et à Gao, en Afrique Occidentale Française. De cet épisode, il garde un goût certain pour les civilisations et l'art africain, dont il devient un grand collectionneur. Dans les chaudes heures de la journée Yankel peint femmes, enfants, hommes, objets. A Gao, il rencontre inopinément Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre. Ce dernier l'encourage à revenir plus avant vers la peinture.
Il soutient l'année suivante sa thèse de doctorat en géologie à la Sorbonne : "Introduction à l'étude géologique et micro-paléontologique du Flysch Crétacé supérieur nord-pyrénéen". Mais c'est la peinture vers laquelle il se tourne définitivement : en 1952, il retourne habiter à Paris et fait ses débuts de peintre à la galerie Lara Vinci, rue de Seine. Il prend un atelier à la Ruche, retrouvant ses souvenirs de jeunesse. Il obtient le Premier Prix Neuman et une bourse du Prix Fénéon. Il compte parmi ses amis Clavé, Cottavoz, Pelayo, Bendov, Pollack, Jansem, Lersey.


En 1953, en compagnie d'Orlando Pélayo, il découvre le village de Labeaume, en Ardèche, où il s'installe tous les étés. Il obtient le Deuxième Prix de la Jeune Peinture.
En 1954, il expose ses oeuvres à Paris, aux Salons des Indépendants, et figure à l'exposition "Aspects du Réalisme" au Musée de Mulhouse. Il obtient  également  le Prix de la Société des Amateurs d'Art à la galerie des Beaux-Arts ; il est invité à la Biennale de Sao Paulo. Il participe désormais à de très nombreuses expositions collectives internationales.


En 1955, ce sont ses premiers succès en tant qu'artiste reconnu, sa première exposition personnelle. De 1957 à 1959, il continue d'exposer et voyage au Maghreb, aux Baléares, à Genève et en Israël. Jacques Yankel fait alors partie de ce que l'on appelle la "Nouvelle Ecole de Paris".
Les années 1950, font de son art une période d'expressionnisme, se référant à Gruber, Lorjou, Buffet, Rebeyrolle, avec de solides qualités de matière. Son installation à Labeaume est durable : il s'y marie avec Jacqueline Daneyrolle en 1960. De 1961 à 1965, il expose à Paris, en Israël et à Amsterdam.
En 1966, sa mère, Rose Kikoïne, décède.


En 1967, il part précipitamment en Israël pour la Guerre des Six-Jours. Il débarque le sixième. Il s'engage volontairement au kibboutz Zikron Jacob et Mayan Zvi et il y travaille trois mois à des tâches ingrates.
En 1968, son père, Michel Kikoïne, décède.
Les années 1960 le font s'éloigner de l'expressionnisme pour  atteindre à une plus grande liberté d'invention plastique, dans une sorte d'expressionnisme abstrait. Il est alors engagé comme professeur d'arts plastiques par des étudiants des Beaux-Arts. Il continue cette activité jusqu'en 1985. Selon les moments, les thèmes qui motivent ses effusions colorées dans des matières foisonnantes, sont des orchestres, des manèges, des cirques, des paysages : le village de Labeaume, les toits des maisons des villages, le carnaval de Nice, des portraits d'amis, dont celui de Philippe Soupault, des coqs, des paysages d'Israël, Venise, etc.


Dans les années 1970, il continue à exposer. En 1978, il participe à la réalisation des décors de la pièce Othello de Shakespeare montée par Georges Wilson. Il commence à travailler avec la Galerie Yoshii à Tokyo et Paris.
En 1987, il se marie avec Lidia Syroka et expose à Anvers en Belgique. En 1987, Jacques Yankel, peintre, sculpteur et collectionneur d'oeuvres naïves, fait don au Musée de Noyers-sur-Serein, d'une centaine de toiles d'art naïf faisant partie de sa collection personnelle.
Depuis Yankel expose toujours notamment en Ardèche où il partage parfois les lieux d'expositions avec son ami le peintre naïf Gérard Lattier, peintre d'ex-votos.
En 2013, Yankel perd sa soeur Claire, et expose pour la première fois à Béziers.


                                                L'armoire Henri II.
"Pour ceux qui n'ont jamais fait, connaissance avec une armoire Henri II, je précise que c'est un bahut conséquent mais encombrant, très lourd, en bois de chêne qui brûle très bien dans la cheminée.
Justement une amie se proposait de m'offrir la sienne d'armoire !!! pour me chauffer !!!
Au lieu de quoi, j'en ai fait une superbe vitrine pour exposer tous les brimborions traînant par ci, par là...
Mais le premier objet sérieux me fut offert par ma fille Dinah lorsqu'elle trouva un vilebrequin rouillé tombé d'un camion.



Et puis , et puis les trouvailles s'amoncelèrent : deux sabots dépareillés ...; à la brocante de Joyeuse j'achetais des boules de pétanque cloutées, des vestiges de poupées désarticulés, un couvercle de boîte à violon, une paire de pédales de bicyclette, des cornes de bête à cornes, un fragment d'épouvantail à moineaux et même un piège à souris, un guignol, deux brocs à lavement peinturlurés par mes soins...
Toutes ces merveilles se logèrent sur les étagères de l'armoire... au point qu'elle devint une oeuvre d'art à part entière et jamais terminée... toujours vivante !..."


Yankel et Bernard Salques / Ethnologue et Conservateur du Patrimoine

Jean-Louis Aguilar-Anton / Art'Blogueur

samedi 9 mars 2013

Triptyque du (sus)Pendu

J'ai constaté dans ma vie personnelle, surtout dans mes années de jeunesse, une attirance pour la perfection.
Puis au cours de mon exercice professionnel à l'hôpital, j'ai observé chez les patients une obsession pour la perfection. Cette quête de la perfection engendre angoisse et malaise.
La perfection est un leurre, un mirage que l'on ne peut atteindre, et qui développe chez le sujet insatisfaction, dévalorisation et dépression.

J'ai décidé dans mon travail de peintre, de prendre le contre-pied de la perfection. D'orienter mon travail sur trois thèmes de recherche : l'inachevé, l'incertitude, l'imperfection.

l'inachevé

l'incertitude

l'imperfection

(sus)pendu à tes lèvres
je bois tes paroles
sur tes lèvres
je lis
je t'incorpore, tu m'incorpores
phagocyte...
amibe du désir
méiose du couple
mitose de la fusion
je suis pendu à toi !

Triptyque du (sus)Pendu

Puis, dans ma vie personnelle et professionnelle, j'ai opté pour un travail autour du lâcher-prise avec la relaxation et la méditation.
Je vous recommande les ouvrages de Christophe André, psychiatre qui utilise la méditation à l'hôpital Sainte-Anne à Paris :
< Imparfaits, libres et heureux. Pratique de l'estime de soi. 2006. Ed. Odile Jacob
<Méditer, jour après jour. Ed. L'Iconoclaste

Jean-Louis Aguilar-Anton / Peintre-Photographe / Art-Thérapeute.


mardi 5 mars 2013

Dino CASTELBOU : la Révélation Esthétique

Peintre et poète, Dino CASTELBOU poétise le quotidien.
Il a exposé à Pézenas dans le cadre de la Mirondela del Arte en 2011.
Et il a publié un recueil de poèmes intitulé : " Les poèmes n'ont pas de prix et les poussins encore plus" en 2012 chez Editions Aquarius (www.editions-aquarius.com).

peinture art aborigène

"Je m'inspire de l'art aborigène, un art qui pose la problématique de l'environnement au premier plan :
c'est la terre vue du ciel, là où l'espace de nos vies prend sa réelle mesure".

Le Ciel embrasse la Terre
Son profond amour
Le guidant
Dans la joie et la peine
Où j'ai soif de peindre
L'horizon de la Lumière
Un arc-en-ciel de sourires 
Enjambant la forêt des souvenirs
Qui récitent les présages
Fêtant la tendresse retrouvée
De la Non-violence charmée
par le Mystère.

                                                   inspiration indienne

                                                 homme saluant le soleil


Mis en ligne avec l'autorisation de l'artiste.
Je remercie Dino Castelbou pour sa contribution à blogarat.

Jean-Louis Aguilar-Anton / Art'Blogueur

vendredi 22 février 2013

Atelier Agatha à Ajaccio (Corse)





    Atelier Agatha Art et développement personnel

L'une des plus belles  expressions du développement personnel par l'art, est la création de MANDALAS




La création de mandalas est la réponse pour faire face aux tumultes du monde actuel. Vous pouvez évacuer le stress généré par les courses effrénées, le surplus de travail, la forme même de la vie d'aujourd'hui, qui est à l'origine de biens des maux. On recherche souvent à faire le vide ou à se centrer, sans pour autant y parvenir. La pratique de mandala permet de se concentrer sur une activité précise, cela permet de méditer de façon active, de mettre de l'ordre en soi, de voir clairement ce qui est. Vous retrouvez votre calme, vous avez un sentiment de complétude. Vous prenez conscience que tout est interdépendant et impermanent. Vous réintégrez votre propre nature au sein de l'univers.





 Mais me direz-vous, qu'est-ce qu’un mandala? Sa signification est "cercle" ou "disque" en sanscrit (langue Indienne). Sa pratique provient d'une technique spirituelle d'origine indo-tibétaine. On crée des mandalas pour mieux cerner et mieux comprendre les archétypes de l'inconscient personnel et collectif. A ce titre, les figures créées sont dotées de sens, que l'on peut interpréter. C'est une pratique qui conjugue créativité, spiritualité et relaxation. En occident, Carl Gustave Jung a été le premier à utiliser la création de mandalas dans une perspective thérapeutique. 
Ce sujet porte à aborder une multitude de thèmes, qui reste à développer, comme les couleurs, les formes, les matériaux, les symboles... Tout à son importance!
Ainsi je souhaite par cette entrée en matière, vous présenter ce que sera le travail de "l'Atelier Agatha", qui définira avec précision, les techniques de création, le langage des couleurs, l'interprétation des mandalas et la mise en place d'atelier de création.
 Les enfants seront à l'honneur, car cette pratique favorise leur créativité, stimule leur imagination et facilite l'expression de leur propre monde intérieur, car n'oublions pas, c'est un divertissement avant tout!
Le but de "l'Atelier Agatha" est de créer une atmosphère qui vibre par ses échanges et sa communication artistique. Sanctuaire d'éveil des sens, en communion avec soi-même, avec les autres, avec les éléments, avec la nature!!! L'idée, c'est de créer, de s'exprimer à travers l'art, de vivre tout simplement!!!   Agathe Mattei. 5 Février 2013.




http://atelieragatha.blogspot.fr/



Article mis en ligne avec l'aimable autorisation d'Agathe Mattei : atelier.art.agatha@gmail.com

Jean-Louis Aguilar-Anton / Art'Blogueur

samedi 16 février 2013

PRATIQUES D'ART-THERAPIE EN SANTE MENTALE (l'après-midi)


"L'Art-thérapie pour mieux s'accommoder de l'existence du langage" par Jean-Pierre Royol / Dr en Psychopathologie Clinique.



                                            Un auditoire captivé !


"Ainsi font, font, font,... les petites marionnettes" par Marie Ranchet / Psychologue Clinicienne

                                       
                         Marie avec Lulu, la marionnette thérapeutique



                        Cette intervention a provoqué un réel engouement



Discours de clôture :

Je remercie tous les intervenants :
Le Docteur François Granier, Alice Abélia, François Vidal, le Professeur Jean-Luc Sudres, le Dr Jean-Pierre Royol, Marie Ranchet, pour la qualité de leurs interventions.
Ainsi que les discutantes : Geneviève Dindart et Gaëlle Van Ham.
Je remercie tous les participants pour leur présence, grâce à vous tous, nous avons vécu un Colloque exceptionnel !
Je remercie le Centre Hospitalier de Béziers pour la mise à disposition de l'amphithéâtre, qui nous a permis de nous réunir dans de bonnes conditions.

L'association ARAT est une association libre et indépendante, qui ne perçoit aucune subvention, elle ne fonctionne qu'avec vos cotisations. Vous recevrez régulièrement par mail des informations sur les Arts et les Thérapies.

"L'ARAT, ce n'est pas seulement une association,c'est aussi un mouvement."

L'ARAT s'engage, et je souhaite en tant que Président de l'association, que l'ARAT devienne une association citoyenne. Nous en débattrons de manière démocratique lors de L'Assemblée Générale du 23 mars prochain.
Le débat portera sur la dimension humaniste du soin en psychiatrie, le soutien à la psychothérapie institutionnelle et à la psychanalyse, du positionnement de l'Art-Thérapie dans le soin et la thérapie, d'une pratique différenciée du développement personnel et du coaching.

Art-Thérapeute, un métier, oui mais quand ?
Art-Thérapeute D.E., oui mais quand et comment ?
Voilà les pistes de réflexion pour nos futures rencontres !


dimanche 10 février 2013

PRATIQUES D'ART-THERAPIE EN SANTE MENTALE (le matin)

Les 5e Rencontres de l'ARAT intitulées : "Pratiques d'Art-Thérapie en Santé Mentale".
ont eu lieu le vendredi 1er février 2013 en partenariat avec le Centre Hospitalier de Béziers.


Je remercie Mme Ulrich, Directrice du CHB, M. le Dr Geissmann, Chef de Pôle Psychiatrie du CHB, tous les intervenants et tous les participants pour ce moment de consensus autour de l'Art-Thérapie.
Avec près de 110 participants et des intervenants de qualité, je peux me déclarer satisfait sans fausse modestie du déroulement du colloque.
Vous trouverez le détails des interventions en page du 1er novembre 2012 de blogarat.


Discours d'ouverture (extrait) :

" Comme je l'ai mentionné dans l'argument du Colloque, l'Art-Thérapie est dans tout et tout est Art-Thérapie. Je prends comme exemple les Salons du Bien-Etre, où l'Art-Thérapie voisine avec l'hydrothérapie du colon, ou encore la thérapie avec les anges ...
Tout çà, c'est très bien, mais ce n'est pas sans danger et sans confusion pour un public non averti !

Nous devons nous recentrer sur le soin et la thérapie, si nous voulons être pris au sérieux. Les sophrologues par exemple, ont su se faire accepter dans les salles d'op et les maternités. L'Art-Thérapie a tout à gagner en faisant partie du plateau technique des Hôpitaux.

Il est vital de nous différencier du développement personnel, de l'épanouissement personnel et de l'ouverture des chakras. Le mot "Art-Thérapie", ne peut pas servir pour qualifier cette thérapie dans le soin et en même temps être utilisé dans le développement personnel et dans bien d'autres Choses.



 "Regards croisés de la Psychopathologie de l'Expression et de l'Art-Thérapie" par le Dr François Granier.


"Petit Poucet ayant grandi...le conte comme médiateur thérapeutique en Psychiatrie adulte" par Alice Abélia / Conteuse et François Vidal / ISP.


                                        Un  public attentif et participant.


"L'Art-Thérapeute en métier? Une approche par la sociologie des professions" par Jean-Luc Sudres / Professeur de Psychologie Clinique.


samedi 26 janvier 2013

Cours d'Art-Thérapie à Elne

Samedi 19 janvier 2013, j'ai repris mon bâton de pèlerin de l'Art-Thérapie pour me rendre chez Florence Fabre / Art-Thérapeute et Directrice de l'Atelier Art&Motion Art-Thérapie à Elne (Pyrénées-Orientales).


Pour proposer un cours intitulé : "Psychothérapies médiatisées et Art-Thérapie".

1e mi-temps :
14h - Atelier "Relation d'Aide et Relaxation"
         Techniques utilisées : PNL, Relation d'Aide centrée sur la personne,
          médiation corporelle et relaxation
       - Temps de Parole

2e mi-temps :
16h - Atelier "Méditation et Peinture"
         Techniques utilisées : la méditation (observation des sensations et du flux des pensées)
          arts plastiques en expression libre.
       - Temps de Parole



3e mi-temps :
18h - Apéritif et discussion sur l'Art-Thérapie (par exemple).
         Présentation des 5e Rencontres de l'ARAT.


La convivialité et l'amitié était au rendez-vous à l'Atelier Art&Motion qui porte bien son nom.
Nous allons tous nous retrouver le 1e février à Béziers pour le Colloque "Pratiques d'Art-Thérapie en Santé Mentale".

Contacts : Atelier Art&Motion Art-Thérapie : 06 80 41 38 69
                 www.art-motion.fr